SLOW FREELANCING : L'INDĂPENDANCE SANS LA SOUFFRANCE
Voici un article diffĂ©rent de d’habitude.
DiffĂ©rent parce que ce ne sont pas les Killeuses qui sont parties en quĂȘte de ce sujet.
Aujourd’hui, c’est Myriam qui se met Ă nu devant vous.
Alors, un tonnerre d’applaudissements pour Myriam s’il vous plaĂźt (et un p’tit commentaire sous l’article, ça aussi ça fait plaisir !) đ
Le Slow Freelancing est au travailleur indĂ©pendant ce que la Slow Food est Ă la nourriture : la permission de rĂȘver Ă un monde oĂč la qualitĂ© l’emporterait sur la croissance Ă tout prix. Et ce nâest pas aussi âdoux dingue â que ça puisse paraĂźtre. Non non âŠ
Pour s’Ă©viter un bon gros burn out et renouer avec les joies d’ĂȘtre Ă son compte, le Slow Freelancing nous donne des clĂ©s souvent pleines de bon sens.
En ralentissant le rythme ? Hum, pas seulement…
Allez, enfilez vos lunettes en demi-lune, je vous en dis plus tout de suite. Confort de l’entrepreneur et lĂ©gĂšretĂ© d’esprit sont au programme… Et ça va FAIRE DU BIEN !
DĂ©finition du Slow Freelancing : de quoi parle-t-on exactement ?
Le Slow Freelancing, c’est le contraire de la âGrowth attitudeâ qui nous est servie comme un modĂšle incontournable dans le monde de l’entrepreneuriat.
La « Growth » quoi ? (Ă ne pas prononcer grosse ou grotte pour Ă©viter tout malentendu đ.) Câest la traduction anglaise du mot âcroissanceâ. Tout simplement.
En rĂ©action Ă cette course effrĂ©nĂ©e, le mouvement global du Slow Business est venu secouer les idĂ©es reçues sur la rĂ©ussite. Il rĂ©affirme l’importance de la qualitĂ© de l’expĂ©rience vĂ©cue par l’entrepreneur et ses clients.
On trouve plusieurs sous-concepts autour de ce mode de pensée. En voici quelques exemples :
- Appartenir Ă la communautĂ© des Slowpreneurs : Entreprendre en se souciant de l’impact qu’a notre activitĂ© sur notre vie et notre environnement ;
- DĂ©fendre le Slow Marketing : Mettre de la profondeur et de lâĂ©thique dans sa communication, en la personnalisant au maximum ;
- Privilégier le Slow Content : Prendre son temps pour produire du contenu de qualité, plutÎt que de publier pour publier ;
- Travailler en mode Slow Freelancing : Renouer avec le plaisir d’ĂȘtre son propre patron en tenant compte de ses besoins et contraintes (travailler moins pour gagner plus) ;
Lorsqu’il est associĂ© au monde de l’Entreprise, l’adjectif « slow » dĂ©signe une pĂ©riode de moindre activitĂ© (source : Cambridge Dictionary ). Mais ça ne veut absolument pas dire qu’il va falloir sacrifier son chiffre d’affaires pour autant.
Bref, il a tout pour plaire, ce concept du Slow Freelancing. Alors, allons un peu plus loin en passant en revue ses principaux atouts charme .
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Sâautoriser Ă entreprendre Ă contre-courant
La rĂ©ussite nous est souvent prĂ©sentĂ©e comme la capacitĂ© Ă TOUT donner pour construire son succĂšs : donner son temps, son Ă©nergie, ses Ă©conomies… et peut-ĂȘtre mĂȘme un petit bout de son Ăąme, allez savoir !
Personnellement, quand je prends conscience de ça, j’ai un lĂ©ger mouvement de recul. Pas vous đ ?
AprĂšs tout, qui a dĂ©crĂ©tĂ© qu’il fallait construire un Empire sinon rien ? Qui a dĂ©cidĂ© qu’il fallait sacrifier sa qualitĂ© de vie au profit de cette quĂȘte sans fin ?
Avec le Slow Freelancing, on peut donner à notre entreprise la forme qui nous convient. Et non pas celle dictée par la Société ou le Droit du Travail, comme le subissent les salariés.
Ătre indĂ©pendant, c’est avoir la libertĂ© d’imposer sa propre cadence. Mais beaucoup d’entrepreneurs semblent l’avoir perdu de vue, Ă force d’avoir la tĂȘte dans le guidon.
Et si le remĂšde au mal-ĂȘtre des freelances Ă©tait un entrepreneuriat sur-mesure ? Le succĂšs du livre de Tim Ferriss « la Semaine de 4 heures » serait un bon argument en ce sens…
Et tant pis si l’on passe pour des paresseux, des procrastinateurs ou que sais-je encore ! Mettons de cĂŽtĂ© ces croyances limitantes qui nous empĂȘchent de sauter le pas vers plus de temps libre et moins de charge mentale.
Tiens, ça vaut la peine de vous parler ici du fléau moderne du Time Poverty (= sentiment de toujours manquer de temps).
J’adore cette sagesse africaine qui le rĂ©sume magnifiquement en quelques mots : «VOUS avez la montre. NOUS, on a le temps ! » (Et BIM đ€Ł !)
Effectivement, je n’ai jamais compris ce paradoxe qui consiste Ă chercher Ă gagner beaucoup d’argent, sans jamais trouver le temps pour le dĂ©penser… ou trop peu !
Avec le Slow Freelancing, on peut TOUT obtenir : une gestion du temps confortable pour soi et un chiffre d'affaires stable... ou en augmentation (Oui, oui !). On en parle plus basâŠ
Gagner en efficacité pour accomplir plus de tùches en moins de temps
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Pour donner une dĂ©finition un peu « funky » du Slow Freelancing, on pourrait dire ceci : c’est un mode de travail qui s’adresse Ă ceux qui veulent le beurre… et le bonheur. L’argent n’Ă©tant qu’une consĂ©quence heureuse de tout ça.
Et sur ce dernier point, soyons clairs, encore une fois : il ne s’agit pas de prĂŽner le minimalisme absolument, mĂȘme si le mouvement slow lui est souvent associĂ©.
En suivant les principes du Slow Freelancing, on peut tout Ă fait travailler moins, tout en gagnant plus.
L’idĂ©e, c’est de gĂ©rer son temps de façon plus efficace en priorisant les tĂąches, par blocs temporels, par exemple. Se concentrer sur ce qui fait VRAIMENT progresser l’Entreprise.
Pour ça, on peut amĂ©liorer sa productivitĂ©, ses mĂ©thodologies et Ă©liminer un grand pourcentage de « prĂ©sentĂ©isme » (= avoir l’impression de travailler… mais non, en fait đ !).
Ai-je besoin de préciser ici qu'un bon « slowpreneur » évite au maximum les distractions qui nuisent à sa concentration ?
Il regarde avec gourmandise tout outil qui lui permettrait d’envoyer promener les notifications en tous genres. Et comme c’est un entrepreneur malin, il n’hĂ©site pas Ă dĂ©lĂ©guer les tĂąches les plus ch…chagrinantes đ ou Ă les automatiser.
Bref, c’est une nouvelle organisation Ă adopter et un changement d’habitudes Ă opĂ©rer pour garantir un avenir plus serein et plus Ă©panoui…
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Affirmer ses besoins sans culpabiliser
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De nombreux freelances ont quittĂ© le salariat suite Ă un burn out. Pour eux, subir une autre forme d’aliĂ©nation serait vĂ©cu comme un sacrĂ© Ă©chec.
S'autoriser Ă prendre des vacances quand ça devient nĂ©cessaire. Ătre Ă l'Ă©coute de son corps et de son cĆur. Tous ces points devraient ĂȘtre non nĂ©gociables.
VoilĂ pourquoi la culpabilitĂ© devrait changer de camp ! (Attention, c’est la minute Arlette Laguiller đ€…Oubliez la rĂ©fĂ©rence, si vous avez moins de 30 ans đ€Ł.)
Ceux qui devraient rougir, ce sont ceux qui font la promotion de rĂšgles inhumaines. Et non pas ceux qui essaient difficilement de suivre le rythme.
Sur ce point, la Science est avec nous, les Z’Amies⊠Vous connaissez la chronobiologie ?
Pour faire simple, c’est l’Ă©tude des rythmes biologiques du corps humain. Elle met en Ă©vidence le fait que notre mĂ©tabolisme s’impose Ă nous, qu’on le veuille ou non.
Pour prendre un exemple concret, on pourrait Ă©voquer le manque de sommeil.
Dans sa confĂ©rence TEDx, l’auteur de livres sur le Slow Business, Pierre MONIZ-BARRETO, nous parle de la conclusion d’un chercheur en gĂ©nĂ©tique qui dĂ©termine notre profil de «dormeur». D’aprĂšs lui, il existe deux archĂ©types :
- le profil âHIBOUâ : Frais et dispo le soir ou la nuit.
- le profil âALOUETTEâ : LĂšve-tĂŽt et plus motivĂ© le matin.
(Personnellement, je suis Ă cheval entre les deux đ„Ž!)
Rien qu’en matiĂšre de sommeil, on se rend bien compte que l’uniformisation des horaires est une illusion. Quand les uns sont en pleine forme, les autres ne rĂȘveraient que de piquer un petit roupillon đ.
Alors, ne nous imposons pas un rythme contre-nature. Nous qui sommes censĂ©s ĂȘtre « libres et indĂ©pendants » en tant que freelances !
Et je n’ai mĂȘme pas Ă©voquĂ© le cycle hormonal fĂ©minin et son lot dâimprĂ©vus đ (hey, on est entre Ladies ici, non ?). Je pense que les arguments biologiques en faveur d’un entrepreneuriat personnalisĂ© sont suffisamment nombreux…
đ « Oui, câest bien beau tout ça. Mais JE fais comment quand un Client veut m’imposer SON calendrier et SES horaires ?! »,
đš « Et si je lui dis que j’ai piscine Ă 14h ? Et que c’est plus important pour moi que son appel prĂ©tendument urgent ? »,
đ « Est-ce qu’il existe des noms d’oiseaux version «slow» ? »,
… Oh la la, je crois qu’il est temps que je reprenne la plume ! Je vois que le sujet est trop sensible pour vous đ !!! Allez, dĂ©tendez-vous du front et des Ă©paules, on va trouver des solutions ensemble tout de suite / maintenant !
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Le Slow Freelancing Ă l'Ă©preuve des Clients âtatillonsâ
Il n’est jamais trop tard pour âĂ©duquerâ ou ârĂ©Ă©duquerâ un client (C’est un terme marketing. Non je ne prends pas les clients pour des sales gosses đ !).Â
Mais ça va dépendre de vous et de votre capacité à changer de posture.
Câest donc simple et complexe Ă la fois, puisquâil sâagit de gĂ©rer lâhumain avec son lot de susceptibilitĂ©s et de caprices (cĂŽtĂ© client). En plus de votre manque de confiance en vous Ă©ventuelle.
Pour vous aider dans cette démarche, voici donc quelques conseils que vous pouvez mettre en pratique :
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â Soyez au clair avec le profil de vos clients idĂ©aux, ceux avec lesquels vous vous sentez Ă votre place et respectĂ©es⊠Et FAITES FUIR LES AUTRES đ !
Je rappelle que la base universelle de la slow attitude, câest de privilĂ©gier la qualitĂ© Ă la quantitĂ©. Alors chouchoutez les clients les plus comprĂ©hensifs et les plus proches de vos valeurs. Et donnez tout pour les fidĂ©liser. Ils sont les seuls Ă âmĂ©riterâ votre perfectionnisme (si vous avez ce tempĂ©rament, bien sĂ»r).
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â Apprenez Ă dire ânonâ avec la dĂ©termination dâun enfant devant son assiette de brocolis (avec la moue qui va bien, câest encore plus redoutable đ !).
Dire NON Ă un mauvais contrat, câest dire OUI Ă une opportunitĂ© bien meilleure et plus Ă©panouissante qui nâattend que vous.
â PrĂ©voyez des âzones tamponsâ dans votre agenda pour pallier les Ă©ventuels imprĂ©vus.
Voyez large dans vos crĂ©neaux horaires de façon Ă Ă©viter les âzones flouesâ dans lesquelles la vie professionnelle empiĂšte avec malice sur la vie perso (Vos proches sont souvent les plus Ă mĂȘme de vous rappeler Ă lâordre dans ces cas-lĂ đ).
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â Prenez conscience que le mot Business vient de l’adjectif « busy » : occupĂ©.
Tout le temps consacrĂ© Ă votre entreprise (veille, rĂ©ponse aux mails, etc.) est Ă mettre dans la case âboulotâ. Ne vous exploitez pas vous-mĂȘme comme un patron tyrannique !
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Tournez-vous vers lâInfoprenariat et ses avantages.
Si multiplier les contacts et les sollicitations devient difficile Ă gĂ©rer pour vous, rien ne vous empĂȘche de consacrer une partie de votre activitĂ© Ă la transmission de vos connaissances. En mode quasi automatique (formations Ă tĂ©lĂ©charger, par exemple). Câest hyper valorisĂ© aujourdâhui et ça le deviendra encore plus demain avec lâexplosion du e-learning. Ăa permettra de renforcer votre rĂ©putation dâexperte dans votre domaine đ€.
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â Soyez rigoureuse dans lâacquisition de vos nouveaux clients.
Affichez votre façon de travailler dans toutes vos communications, dĂšs que câest possible. Contrairement Ă ce que vous pouvez penser, ĂȘtre ferme sur votre cadre de travail aura plutĂŽt tendance Ă rassurer la majoritĂ© de vos prospects.
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Alors, est-ce que lâenvie de tenter le Slow Freelancing vous gagne, aprĂšs avoir lu tout ça ? Reconnaissons quâil y a simplement un peu de bon sens et beaucoup de bienveillance envers soi-mĂȘme derriĂšre cette philosophie « tendance ».Â
Finalement, si lâon sâĂ©coutait un peu plus, on en viendrait sĂ»rement aux mĂȘmes conclusions, vous ne croyez pas ?
Pourquoi le mouvement slow est-il si tendance ?
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On ne peut pas balayer lâĂ©tat dâesprit slow d’un revers de la main en prĂ©textant que c’est encore une lubie de bobos en quĂȘte de sens.
Il y a tout de mĂȘme beaucoup de noblesse dans le fait de placer lâhumain au cĆur de la matrice. Tout en ayant une attitude Ă©coresponsable.
En ce sens, la philosophie slow peut littĂ©ralement sauver des vies ou des carriĂšres, comme câest le cas avec le Slow Freelancing.
Dans un monde oĂč tout nous Ă©chappe, revenir Ă lâessentiel et vivre pleinement toutes les facettes de sa vie est presque devenu vital.
Ce mouvement qui a connu ses dĂ©buts dans les annĂ©es 80 avec la Slow Food (= manger mieux et plus en conscience) a connu un regain dâintĂ©rĂȘt suite aux diffĂ©rents confinements et Ă lâexpansion du tĂ©lĂ©travail.
DorothĂ©e a dâailleurs Ă©crit un article tellement drĂŽle sur ce sujet. Je vous le conseille vivement, mĂȘme si le contexte nâest plus le mĂȘme aujourdâhui (Les fauves que nous sommes ont Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s depuis longtemps đ . Youhou !). Les conseils quâelle y donne sont, eux, toujours dâactualitĂ©âŠ
Souvenez-vous des razzias sur les paquets de farine et le succĂšs du pain fait maison !Â
De nombreuses personnes ont savourĂ© la disponibilitĂ© du temps qui sâoffrait Ă elles pour redĂ©couvrir les plaisirs simples. Quand on y pense, ça tĂ©moigne bien du malaise rampant qui rongeait la sociĂ©tĂ© avant cette pandĂ©mie. Il a juste pris la forme dâune miche de pain đ€Ł!
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Pour conclure ce joli moment « feel good » passĂ© ensemble (et oui, nous devons dĂ©jĂ nous quitter), je dirais que rien ne nous empĂȘche de mettre un peu de slow dans notre activitĂ© de freelance. Sans que ça ne devienne, paradoxalement, une nouvelle injonction de plus.
Personnellement, je souffre dâune tendance Ă lâhyper-focalisation (C’est la minute storytelling đ). Je peux me transformer en « taureau », quand un sujet me passionne (sans les narines fumantes. Nâallons pas trop loin quand mĂȘme đ !).
Alors, me parler de mĂ©thode Pomodoro (= sĂ©quencer son temps par tranches de quelques minutes), et bien câest peine perdue đ€Ș. Mon Ă©chelle de temps se compte souvent en heures !
Ă cĂŽtĂ© de ça, je me considĂšre aussi comme âimpatienteâ sur dâautres sujets, puisque jâai besoin dâavoir plusieurs âside projectsâ en mĂȘme temps… Bref, vous vous reconnaissez peut-ĂȘtre dans ce profil complexe đ.
Et pourtant, j'ai pu mettre en pratique le principe du Slow Content avec ces 2400 mots que j'ai eu plaisir à rédiger pour vous.
J’ai pris le temps de laisser mĂ»rir mes idĂ©es, avant de passer des heures Ă les poser sur mon Ă©cran đ (parce que j’aime ça !). J’ai adaptĂ© la philosophie Slow Ă mon mode de fonctionnement pour n’en retirer que le meilleur.
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Je remercie bien chaleureusement Adeline et DorothĂ©e pour cet espace quâelles mâont permis de squatter noircir de ma Plume virtuelle đ. Lâexercice restera mĂ©morable, ChĂšres ZâAmies. Merci pour votre confiance đ„° !
Et merci aux lectrices de me mettre un commentaire sympa de mâavoir lue đâŠ
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Cet article a 10 commentaires
J’adore ! Merci pour ce bel article avec de judicieux conseils que je vais appliquer dĂšs aujourd’hui.
Coucou Marie ! C’est sympa de te retrouver ici đ. Effectivement, d’aprĂšs ce que je connais de toi, je pense que le Slow Freelancing est un mode de travail qui te correspondrait parfaitement.
J’ai trouvĂ© ton article trĂšs interessant et vraiment punchy. Je vais appliquer tes conseils !
Merci đ ! Ravie d’apporter un peu de matiĂšre Ă ta rĂ©flexion. Et pour le cĂŽtĂ© « punchy » de mon texte… disons que j’ai essayĂ© de me mettre au niveau explosif des Killeuses đ …
Merci pour ces conseils et cet article riche en informations, rĂ©confortant et tellement bien Ă©crit ! Il est grand temps de « s’autoriser à  » ! J’espĂšre pouvoir te lire, ici, Ă nouveau, trĂšs bientĂŽt đ
Merci Ă toi, Peggy, pour ce commentaire super sympa đ ! Oui, il faut toujours oser tester de nouvelles choses, surtout quand elles permettent de gagner en confort đ.
super !! ça donne de l’Ă©nergie !! ya pu ka !!
Go go go, Martine ! Mais en mode « slow » đ…
Bonjour Myriam,
Merci pour ce partage de valeurs et ces conseils . Un retour Ă l’humain, Ă la vie ça fait du bien de se recadrer sur l’essentiel.
VĂ©ronique
Avec plaisir ! Oui, il ne faut jamais oublier son « humanité »… et celle de ses clients đ. Avec l’Intelligence Artificielle qui va envahir encore plus nos vies, je pense que ce genre de rĂ©flexions deviendra encore plus vital.